Les noces de Cana

Coup de projecteur sur un beau morceau du football international : Lorik Cana. Né au Kosovo dans une ville au nom imprononçable, il joue pour l’équipe d’Albanie. Regardez ! Là ! Au  milieu du terrain !

C’est bel et bien Lorik. Ce fils de footballeur a voulu faire comme papa et il a bien fait. En 1992, à neuf ans, il fuit le Kosovo pour la Suisse où il intègre le centre de formation de Lausanne, le début de tout. Il rejoint les rangs du Paris-St-Germain en 2002 pour les quitter –infidèle- pour le club de la cité phocéenne trois ans plus tard. Adulé des supporters marseillais qui scandaient –on les comprend- le doux nom sucré de Cana. Il a défrayé la  chronique à cause de son tempérament de feu, normal pour un natif Lion. Graou. Il a récolté cinquante-quatre cartons jaunes sous les couleurs de l’OM. Record.

Depuis cette année, Lolo est parti pour se dorer la pilule sous le soleil de Turquie. Il arbore donc fièrement le numéro 13 dans l’effectif du Galatasaray. Mais le jeune éphèbe aux mensurations, hum, ravissantes (84kg pour 1m86) a d’autres cartes dans son jeu. Stratège, il a participé à plusieurs tournois de poker. On se souvient du tournoi Stars Of Poker dans les arènes de Nîmes, qu’il a remporté haut la main ! La main qu’il a sur le cœur d’ailleurs, puisqu’il a donné ses 100 000 euros de gain à son association pour les enfants du Kosovo. Si ce n’est pas adorable.

Célibataire, pas sûr, mais son statut marital reste très flou. On lui a prêté une romance avec la sulfureuse Clara Morgane en 2008 mais depuis le jeune homme préfère rester discret sur ses amourettes. Soupir. N’empêche que peu de femmes peuvent se targuer d’avoir dans leur tableau de chasse un homme dénommé Lorik…

Beau gosse, convoité et altruiste, que demander de plus ? Epouse-moi, Lorik.