Un coup de cœur ça ne se commande pas. Ça vous tombe dessus sans prévenir. Et quand une de vos amies craque tout à coup sur un demi-dieu merengue, il est normal de lui accorder un peu d’attention. Et quand c’est bientôt son anniversaire (à lui comme à elle, coïncidence ? Peut-être pas), alors on se dit que c’est l’occasion rêvée pour s’intéresser à la vie de celui qui arbore fièrement le numéro 12 dans l’effectif du Real Madrid : Marcelo Vieira da Silva Júnior.
Le petit Marcelo voit le jour le 12 mai 1988 dans la ville truculente de Rio de Janeiro. Neuf ans plus tard, il commence à tâter le ballon sur des terrains de futsal avant de taper dans l’œil (sens figuré) des recruteurs du club de Fluminense (comprendre un des grands clubs de foot de Rio) qu’il rejoint à treize ans. Les problèmes financiers ont failli mettre très tôt fin à sa carrière, mais son club qui avait un véritable coup de cœur pour le jeu de jambes du petit garçon, a vraiment insisté pour qu’il persévère dans cette voie. Et fort heureusement ! En novembre 2006, Marcelo débarque sur le vieux continent pour sept millions d’euros. Ça équivaut à un peu plus de 15 000 paires de Moonbow de chez Louboutin. Ah oui, quand même.
Il venait d’avoir dix-huit, il était beau comme un enfant, fort comme un homme et comme un joueur du Real Madrid surtout. Le président du club, Ramón Calderón était vraiment heureux et excité de voir débarquer dans son équipe le petit brésilien. C’était alors « un recrutement important » post-ère des Galactiques. C’était « un joueur très jeune qui allait donner de la fraîcheur et de la joie au club ». Tu m’étonnes. Il ajouta même que Marcelo est « une perle que convoitait la moitié de l'Europe »… Rien que ça…
Le petit Marcelo voit le jour le 12 mai 1988 dans la ville truculente de Rio de Janeiro. Neuf ans plus tard, il commence à tâter le ballon sur des terrains de futsal avant de taper dans l’œil (sens figuré) des recruteurs du club de Fluminense (comprendre un des grands clubs de foot de Rio) qu’il rejoint à treize ans. Les problèmes financiers ont failli mettre très tôt fin à sa carrière, mais son club qui avait un véritable coup de cœur pour le jeu de jambes du petit garçon, a vraiment insisté pour qu’il persévère dans cette voie. Et fort heureusement ! En novembre 2006, Marcelo débarque sur le vieux continent pour sept millions d’euros. Ça équivaut à un peu plus de 15 000 paires de Moonbow de chez Louboutin. Ah oui, quand même.
Il venait d’avoir dix-huit, il était beau comme un enfant, fort comme un homme et comme un joueur du Real Madrid surtout. Le président du club, Ramón Calderón était vraiment heureux et excité de voir débarquer dans son équipe le petit brésilien. C’était alors « un recrutement important » post-ère des Galactiques. C’était « un joueur très jeune qui allait donner de la fraîcheur et de la joie au club ». Tu m’étonnes. Il ajouta même que Marcelo est « une perle que convoitait la moitié de l'Europe »… Rien que ça…
Dans l’effectif du Real, il marche dans les pas … Stop. Image mentale. Simba qui met sa pâte dans la trace laissée par son père dans la terre. Larme à l’œil. On y est. On reprend. Dans l’effectif du Real donc, il marche dans les pas du célébrissime Roberto Carlos au poste de latéral gauche et réalise des perf’ plutôt prometteuses… même si au final il faudra attendra l’arrivée de José pour que Marcelo puisse enfin briller à ce poste. En attendant le jeune homme œuvrera en tant que milieu gauche puis de nouveau sur le côté. Bon l’important à retenir dans tout ça, c’est que Marcelo est défenseur. Voilà. Le fait de savoir s’il joue plutôt sur l’extrême gauche ou un peu moins à gauche et un peu plus devant, n’est véritablement pas très intéressant ni important d’ailleurs. En sélection nationale, au Brésil, il est devenu un titulaire de la Seleção même s’il est en concurrence directe avec Michel Bastos. Sauf pour la coupe du monde sud-africaine de 2010, mais bon, ce n’est pas l’épisode le plus heureux de la planète football.
A noter pour finir que ses fans sont intarissables à propos de ses maxi-talents et de sa maxi-technique. Amortis, jeu à une touche, la conduite de balle, vivacité, jeu offensif, son pied droit, sa polyvalence ou encore sa combativité, Marcelo sait tout faire. Même tomber amoureux et épouser la damoiselle de ses pensées. C’est le moment normalement où je m’épanche en mièvreries -ou en critiques- sur la situation maritale de notre héros du jour. Aujourd’hui, je me mure dans un silence hypocrite. Non, elle n’est pas moche. C’est qu’elle n’est pas trop photogénique plutôt. Voilà. Si vous mourrez d’impatience de voir à quoi elle ressemble, bien à vous. Moi je pense que tant qu’ils sont amoureux… La vérité, c’est que Marcelo, je le laisse à ma copine dont on parlait au début … Je veux bien mettre des liens vers des photos de lui. Tout ce que je demande moi, c’est qu’il me présente ses copains du Real…
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